Saison de déforestation 2015

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4/10
14 h 50 La personne est libre  !

14 h 30 Après une sprint impressionnante, la carte d’identité est remis à l’avocat. Maintenant se révélera, si c’était assez vite. Nous ne pouvons qu’attendre.

14 h 10 La juge va attendre seulement 10 min à la carte d’identité de la personne encore arrêtée !

12 h 30 Groupe 2 de l’action de blocus du convoyeur est relaxé ! Enchaîné-e-s à l’autre, mais libre ! Donc, nous attendons juste la personne qui est dans le palais de justice.

12 h 20 Groupe 1 (deux personnes) de l’action de blocus du convoyeur est libre. Et aussi la personne arrêtée pendant la nuit est libre ! Les personnes du groupe 2 du blocus du convoyeur sont apparemment toujours dans leur V-Locks (serrure aux bras pour s’enchaîner à deux). Mais bientôt elles-ils seront relaxé-e-s eux aussi.

12 h 15 Maintenant tous les quatre occupant-e-s du convoyeur sont détenu-e-s. Donc, il y a maintenant un total de six personnes en garde à vue. La personne, qui est amenée au magistrat, la personne qui fut arrêtée la nuit dernière et les personnes du blocus du convoyeur.

12 h 00 Deux militant-e-s (de quatre) du blocus de convoyeur d’aujourd’hui sont à Düren en garde à vue. Apparemment, l’occupation est en train d’être évincée ou bien ça y est déjà. Au total, il y a maintenant quatre personnes dont nous savons pour sûr qu’ils sont en garde à vue. Une fois la carte d’identité de la personne arrêtée hier est arrivé au tribunal de district, on peut supposer qu’elles-ils seront libéré-e-s, selon un avocat.

11 h 35 L’audience en cours est interrompue pour 2 heures. La personne présentée au magistrat doit être relaxée après avoir donné son identité. Elle a décidé de le faire.

11 h 00 La dernière personne emprisonnée hier après blocus d’excavatrice est toujours en détention et sera traduit à 10h15 devant un juge du tribunal de district à Düren. Elle est accusée de tentative de blessure corporelle, comme elle a soi-disant donné un coup de pied à un-e employé-e. Parce que son avocat n’est pas encore d’arrivé, l’audience est décalé vers l’arrière.

04 h 30 actuellement, les deux groupes ne sont plus joignables…

03 h 50 Au moins quatre policiers-ères sont sur place. L’équipe 1 est bombardé avec l’aide de tuyaux d’incendie. Les deux personnes enchaînés sont très trempées et entre-temps il fait froid.

03 h 37 Premier contact avec groupe 2. Leur plan pour accrocher un hamac sur le deuxième convoyeur principal n’a pas fonctionné. Mais les deux convoyeurs sont arrêtés et par conséquence toute la mine à ciel ouvert !

02 h 40 L’un des deux convoyeurs principaux dans la mine de Hambach est bloqué par des militant-e-s qui se sont enchaîné-e-s. Certain-e-s ouvriers-ères sont passé-e-s et ont tenté une compétition de regarder fixement les militant-e-s, mais bientôt ils l’ont abandonné et sont reparti-e-s.

Il y a des gens qui passeront la nuit devant le poste de police à Düren et seraient heureux dans la matinée de recevoir des boissons chaudes.

02 h 04 Deux de ceux qui attendent réessayent de s’informer dans le poste de police où la personne arrêtée a été transférée. Les policiers-ères ne sont pas du tout disposé-e-s à renseigner et au lieu de cela l’une des deux personnes est tirée dans le poste. Ils-elles conduisent autour un chien dans la cour, et lâchent peu après, sous des acclamations enflammées, un chien aux trousses des manifestant-e-s. Une personne est mordue au bras, mais elle a de la chance et s’en sortit sans blessure grave d’entre eux. Les fonctionnaires sont très nerveux-ses.

L’une des partisan-e-s à tenté de demander dans le poste où notre ami-e est transféré-e. Cependant, comme réponse il-elle obtient seulement une caméra devant son visage.

01 h 30 D’un haut-parleur résonne la voix de la personne arrêtée, de l’intérieur du poste de police. Elle ne sait pas vraiment où elle est transférée et qui est en attente en face du poste, et elle se remercie pour le soutien. Une voiture de patrouille arrête peu après dans la cour et 4 personnes montent. En courant à l’autre sortie peut être constaté que notre ami-e est déporté une fois de plus.

3/10
24 h 00 Un autre fourgon de police passe lentement devant les appuyant-e-s attendant-e-s et à raison de quelque chose de burlesque la foule est poivrée de par les fenêtres ouvertes, ensuite il s’en va vite. La protestation devient plus forte et les policiers-ères menacent à l’usage de spray au poivre !

23 h 30 Devant la porte du centre de détention on chante, on rit, on scande des slogans, on secoue la porte. Ça rend les policiers-ères de plus en plus nerveux et enfin ils attaquent une personne pacifique à travers les barreaux de la grille avec du gaz poivré depuis 20cm dans le visage.

23 h 00 Plus de supporteurs-trices arrivent au GeSa ( Gefangenensmmelstelle, centre de détention ).

17 h 30 Trois personnes ont été relaxées, une personne y doit passer la nuit sur ordre de la police judiciaire Elle doit être traduite devant le magistrat avant d’être relaxée.

17 h 00 L’occupation est évincée.

14 h 45 La situation est confuse – évidemment des gens sont traités avec des clés douloureuses ( technique de neutralisation ), pour qu’ils quittent l’excavateur. Quelques policiers-ères y rient. Nous ne pouvons pas estimer le progrès de l’évacuation.

14 h 38 L’une des personnes restantes sur l’excavateur est menacée de violence si elle ne quitte pas l’excavateur, et ensuite elle est enlevée de l’excavateur, probablement avec de la violence.

14 h 35 Certains policiers-ères essayent à ouvrir le D-Lock à une personne avec un coupe-boulon, mais ne semblent pas avoir de succès. Au lieu de cela, ils-elles confisquent la téléphone à cette personne.

14 h 25 Les deux personnes qui ont été encerclé-e-s au début de l’action, sont enlevées de l’excavateur.

14 h 19 A la personne pas enchaînée est annoncé qu’elle va être évincée bientôt.

14 h 05 Une unité de police masquée avec du matériel d’escalade atteint l’ excavatrice. Le soupçon est qu’il s’agit de fonctionnaires de l’unité spéciale SEK.

13 h 45 L’équipe d’escalade essaie de communiquer avec les occupant-e-s. Il fait du soleil. Entre-temps, l’excavatrice est arrêtée depuis plus de 12 heures !

13 h 07 Deux personnes sont arrivées avec des baudriers d’escalade sur l’excavateur. Cependant, en civil.

13 h 06 RWE fournit les forces de l’État avec des petits pains – sandwichs pour les flics ! Le sac à dos de l’une des occupant-e-s a été volé. Elle a obtenu de l’eau. Pas de nourriture.

12 h 09 Tous les gens sont bien et toujours sur l’excavateur. Chez un groupe des policiers-ères glandent et s’ennuyent. En bas: 11 voitures de la sécurité, une ambulance et un bus 4×4 d’RWE.

10 h 32 La personne qui avait grimpé entre les convoyeurs est épuisée parce qu’elle avait perdu son équipement, et apparemment elle permet volontairement d’être descendue en rappel.

09 h 51 Chez le groupe arrêté par RWE, des unités de police sont maintenant arrivées. Un ascenseur s’approche. Jusqu’à présent, tou-te-s les militant-e-s sont bien.

08 h 59 Un policier grimpe à 35 mètres pour demander si les gens ne veulent pas aller. Après un hochement de la tête, il s’en va..

08 h 42 La connexion de l’excavateur et le convoyeur est occupé aussi. La communication entre les deux groupes est possible. La bannière avec « vous détruisez un mur, mais construisez 1000 autres – pas de prison, pas de Frontex » a été volé par des ouvriers-ères désireux-ses d’RWE. ( ben, peut-elle être maintenant dans le trésor du club-house? ).

03 h 34 Un hélicoptère du pouvoir de l’Etat cercle au-dessus de la forêt et la prairie, et passe chez l’excavateur aussi.

02 h 53 Deux voitures de la Sécurité au fond de la mine. Le groupe inférieur se trouve à un hauteur de 35 mètres environ.

02 h 30 Les pompiers sont arrivés sur place, le groupe encerclé par des ouvriers-ères d’RWE va relativement bien. Chez le deuxième groupe il y a maintenant des ouvriers-ères, mais ils-elles gardent la distance.

02 h 15 Une personne s’est enchaînée par un D-Lock ( Un cadenas de bicyclette pour s’enchaîner au cou ), des ouvriers-ères d’RWE prétendent que la police est déjà sur place. Un autre lock-on est apparemment lancé en bas par des employé-e-s d’RWE.

02 h 03 Les personnes ont été séparées en 2 groupes – l’un est détenu par des employé-e-s d’RWE, le seconde a trouvé un endroit sûr, même si pas au sommet de l’excavateur.

01 h 56 Ils sont plus haut sur l’excavateur et sont à la recherche d’un endroit sûr.

01 h 30 Les militant-e-s sont entré-e-s dans l’excavateur. Apparemment, ils sont aperçu-e-s, puisque la roue à aubes ralentit. Ils se réunissent pour trouver leur chemin vers le sommet.

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