Chronologie
Rapporté sont des attaques sexistes de la part des gardes de sécurité. Une activiste dans le lock-on a été illuminée par une lampe de poche tandis que le sécu a transmis ses fantasmes de viol en détail. On a entendu aussi un sécu se vanter que c’était lui qui a brisé le nez de notre compa jeudi. Nous nous demandons si RWE commande des attaques sexistes de la part de ses employés (qui après tout sont aussi les employés des sous-traitants), si ils-elles les favorisent consciemment, ou si s’est passé à leur insu (alors ce devrait être connu maintenant). Dans ce cas, une enquête interne serait certainement appropriée, avec une indication que quelque chose comme ça est absolument impossible. La question est aussi pourquoi des lésions corporelles vraiment graves de la part des sécus restent impunis à nouveau, tandis que les victimes de cette violence sont en prison.
Depuis le poste de police est rapporté que la militante a dû se déshabiller complètement, bien que (parce que?) des policiers socialisés masculins soient encore présents. Ça aussi ne devrait pas marcher de cette façon.
Liberté aux prisonniers-ières !
Ajout au blocus de la voie ferrée Hambach du 24/10/2015
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