Intéressant est actuellement l’écho médiatique de l’action « Ende Gelände » du week-end dernier. Après les violentes opérations policières, la police et RWE se voient de plus en plus dans la critique publique. Il est rapporté, que les journalistes ont été partiellement empêché au travail par la force ( taz, report-k.de ). Que la police avait travaillé exceptionnellement en étroite collaboration avec la société et utilisé fortement ses véhicules et son infrastructure. ( taz, WDR ( troisième chaîne télé ), taz )
La police a répondu immédiatement avec une prise de distance.
Jeudi la WDR continuait les reproches dans l’Aktuelle Stunde ( heure actuelle ) : que les forces de sécurité RWE ont utilisés de la violence contre les activistes. Arnold Plickert, syndicat de la police GdP dit à ce sujet :
« Ils peuvent retenir des gens, mais seulement jusqu’à ce que la protection policière est là, et je pense, que nous y étions présents avec un grand nombre. Dans de tels cas, l’usage de la force est interdite et pour cette raison – si la violence a été utilisée contre les activistes par des gardes de sécurité – je pense que ce serait à vérifier en juridiction pénale. »
Nous sommes curieux de voir s’il se passera vraiment quelque-chose sur ce terrain, même si la croyance dans les institutions publiques est faible. Puisqu’elles sont responsables pour sécuriser le droit pour ceux qui renforcent l’économie. Les prises de distance par la police devraient être considérée seulement en tant que service à lèvres à raison de la critique des médias. Cette coopération a existé toujours aux évacuations de militant-e-s dans la Forêt de Hambach, même pendant l’action du camp climatique de l’année passée c’était comme ça, sauf que l’intérêt des médias n’était pas si grande.
C’est bon qu’il est fait connu du public maintenant, ce qui a toujours été de coutume dans la Forêt de Hambach: La collaboration et interdépendance étroite de la politique, la police et RWE ( par exemple en la personne du chef de district de Düren Wolfgang Spelthahn qui, en tant que chef suprême des opérations du week-end, a démissionné de son boulot dans le conseil de surveillance d’RWE seulement peu de temps avant. ). L’autoritarisme d’RWE et de sa sécurité, qui joue à plusieurs reprises aux auxiliaires de police violents ou même à la puissance occupante. L’arbitraire de la police, qui aime très vite à prendre les matraques et du gaz poivré dans la main. En générale, les occupant-e-s de la prairie sont traié-e-s assez différemment-e-s, puisque normalement personne d’autre est la pour regarder . P.e. le matin des activistes sont battu-e-s inconscient-e-s et roué-e-s de coups par les gardes, à midi ils-elles ( les activistes, bien sûr! ) sont arrêté-e-s par la police ( pour un jour ou peut-être 4 semaines ), l’après-midi la presse rapporte de la «violence par les activistes dans la Forêt de Hambach», le soir il y a encore une grande razzia à l’occupation de prairie ( «à la recherche de grenades à main » ). Ce qui est arrivé à la fin d’Octobre 2014. Voici des liens à la version germanophone de notre blogue : ( lien1, lien2, lien3, lien4, lien5, lien6, lien7, lien8 ).
Là, la machine fonctionne parfaitement. Il semble être habituel, de kidnapper et maltraiter des activistes lien fr. encore et encore à des « contrôles générales de la circulation », sans donner de raisons. « Pour l’avocat Mertens ce n’est pas un cas isolé. Si la situation s’est déroulée, comme Hannah a rapporté, l’action de la police transgresse la loi. „ Si la raison d’une action de la police est pas indiquée et est exécutée en dépit de la résistance, nous sommes dans un état de police classique “, dit Mertens ».
A propos de la violence et des situations présentantes des risques vitaux aux blocus récents on a rapporté récemment. ( lien fr, lien de ). Récemment il y avait pendant des jours un véritable siège du camp à la prairie par la police. Qui a quitté le camp, devait compter chaque moment avec un contrôle personnel arbitraire ( qui habituellement alors aboutissait à la déportation et de mauvais traitements ). Il est inacceptable qu’il en est ainsi, mais c’est bien, si le public peut obtenir lentement une idée de ce qui se passe.
Et ne pas oublier : Jus, qui a été emprisonné après l’évacuation de la tour de Rémi, il y a plus de 4 semaines, puis a entamé une grève de la faim, est toujours en prison. Après 3 semaines en détention, il a vu son avocat pour la première fois. La visite hebdomadaire, qui lui revient, est approuvée une seule fois ( en plus de 4 semaines! ). Nous espérons, malgré tout ces chicanes, de le fermer vivant bientôt de retour dans nos bras!